vendredi 30 décembre 2016

Bout de l'an au col d'Azet

Un méchant brouillard étouffe les coteaux du Gers depuis hier. Et ce matin ça semble encore parti pour la journée...
La tentation est grande de se rapprocher de la montagne où la météo annonce un grand soleil.
GRAND SOLEIL ! Les mots magiques qui me font démarrer au quart de tour. On se donne rendez-vous avec J-Pierre et Solange à Guchen pour grimper le col d'Azet.
A 11h30 à Guchen, il fait 2°C, mais un grand soleil, ça va vite chauffer. On se couvre bien et nous voilà partir pour cette magnifique grimpette.
Beaucoup de monde sur la route de St Lary : les vacanciers en mal de neige se rabattent sur leur sport favori, la voiture. Nous évitons la cohue en coupant par la petite route de Vielle-Aure.
12h00- nous abordons le début de la montée, un premier km facile mais à l'ombre, il fait 3°C. Nous retrouvons le soleil à Sailhan et rapidement nous éprouvons le besoin de nous dénuder : c'est donc manches courtes que nous poursuivons.


Très rapidement la pente s'accentue et une chaleur bienfaisante nous envahit.
Estensan, Azet , c'est ce qui est plaisant dans cette ascension, le paysage est superbe tout autour de nous, au nord l'Arbizon majestueux mais sans neige, à l'ouest Soulan, le Pla d'Adet, seuls les abords du col de Portet sont enneigés, au sud des hauts sommets tout blancs que je ne connais pas, et à l'est le col qui nous attend, matérialisé par une nuée de voitures en stationnement.
La montée est rude, 8 à 9%, mais il fait bon et nous roulons tranquillement : on admire béatement notre environnement.
13h25-Voici le col. Nous sommes accueillis par un troupeau de moutons en balade (ya plus de saisons mon pov' monsieur!)





Je ne l'ai pas souvent monté aussi bien, et tout le monde l'a fait facile. On va passer un bon moment à nous restaurer, admirer la vue à 360°. Nous discuterons avec un collègue cyclo qui n'en revient pas d'être là un 30 décembre.
Il fait un peu plus frais que l'an passé le même jour, mais tout de même 14°C. Par contre, moins de neige que l'année dernière : serait-ce le réchauffement du climat ?

 la station de Val-Louron (au loin, Peyragudes)

14h00- Nous descendons assez lentement pour nous gorger du spectacle omniprésent.

Azet

A Estensan, nous bifurquons sur la droite pour rejoindre Guchen via Camparan. Superbe petite route en balcon suspendue au dessus de la vallée de la Neste.

Encore un merveilleux souvenir à ranger précieusement. Grand merci à J-Pierre d'avoir sacrifié sa journée de chasse et à Solange d'avoir ignoré la fatigue de l'Aspin  pour m'accompagner. On a eu une pensée pour nos compagnons habituels, temporairement immobilisés.
Bonne Année à tous.

Nous avons parcouru 31km avec 835m de dénivelé. 

mardi 27 décembre 2016

Une belle balade à Peyriguère

Ça faisait un moment qu'on avait pas vu le soleil, aussi je n'ai pas hésité quand il a montré son nez.
L'après-midi s'annonce belle et douce, je sors le cheval, direction plein sud, les Pyrénées en ligne de mire.
C'est la plaine à partir de Betplan, que je rejoins après une belle traversée des coteaux de Troncens.
J'emprunte la tranquille vallée du Lanenos pour gagner Marseillan, beau balcon sur la plaine de l'Arros. Je travers la rivière du côté de Chelle-Debat, et je la suis au pied du coteau jusqu'à Aubarède.
C'est Noël, il y a toujours des décorations à l'entrée du village : cette année c'est une magnifique crèche...


Le pied de la côte de Peyriguère est là, elle m'attire, difficile mais superbe. Je l'aborde "tout à gauche" pour éviter de transpirer et pour prendre le temps d'admirer le paysage.


C'est le point culminant de ma randonnée, 450m, je redescend à Sère-Rustaing par le magnifique plateau de Barraquès. La route de Capvern que j'emprunte maintenant, vers Miélan, est bien connue de mon vélo : j'enclenche le pilote automatique jusqu'à Castelfranc, mais le parcours n'est pas trop monotone. Une petite pause photo à Lubret St Luc pour profiter de la chaude lumière du soir, et ça repart...

le château de Lubret St Luc

Les dernières côtes sérieuses m'attendent à Castefranc pour regagner Troncens par le chemin de Cartalle et les Puntous.
Belle balade, 58km et 660m de dénivelé, température 12°C.


Bonnes fêtes à tous

le circuit

vendredi 2 décembre 2016

Tour de Marciac par les coteaux

Impossible de résister à l'appel de la balade ! Le circuit fut magnifique, à refaire avec les copains.
J'en ai ramené une jolie brochette de monuments, saisis dans leur cadre coloré par les dernières feuilles d'automne et la chaude lumière de décembre. (cliquez sur la photo pour l'agrandir)


Vous y voyez (de gauche à droite et de haut en bas) : Mascaras, Bacarisse, Laveraet, Marciac, le château de Samazan, Cayron, Monlezun, Bassoues, Louslitges.


Les chiffres : 56km, 720m D+, 15°C.

jeudi 1 décembre 2016

Promenons-nous dans ... les Baronnies

Allez, une petite dernière avant les frimas de l'hiver. Il fait grand beau, il fait doux, c'est parti !
-Cliquez sur les photos pour les agrandir-

 Petite pause dans la rude montée de Marsas

 dans la montée vers La Pède

 au col de La Pède



 Uzer

 Argeles-Bagnères

sur les hauteurs de Castillon

la superbe descente de Castillon

en descendant de Bettes

Une belle équipée, sublimée par un ciel sans nuage et une douceur bienvenue (14°C). Merci à André pour cette somptueuse randonnée (32km, 800m D+)


jeudi 17 novembre 2016

Couleurs d'Aspin

Une belle journée s'annonce, il ne faut pas les louper, elles sont rares depuis quelque temps. J'ai envie de voir les couleurs d'automne du côté de l'Aspin. L'idée à peine germée dans ma tête, je réunis mon matériel vélo et photo et me voilà sur la route des Pyrénées.
Une petite pause photo, toujours au même endroit, à proximité des Baronnies et du village de Prat. On ne s'en lasse pas.


Il fait 12°C à Sarrancolin quand je prends le vélo pour un échauffement de 7km jusqu'à Arreau.
Je découvre au passage à Escalère, une cascade que je n'avais jamais remarquée. Bizarre, elle ne doit pas être trop naturelle...


Arreau, je suis à pied d'oeuvre pour la montée de 12km. J'attends pour me découvrir d'avoir franchi les deux premiers kilomètres qui sont à l'ombre : la température y est pourtant agréable, 14°C.
Au premier lacet, pause déshabillage : je ne conserve qu'un t-shirt et le maillot manches courtes.
Ça monte régulièrement et la vue se dégage sur la vallée : encore quelques pauses photo.



La pente s'accentue brusquement aux 5 derniers kilomètres : 9,5% d'abord, puis 8% jusqu’au col. Les jambes sont un peu juste, alors je mouline...
Je connais maintenant chaque virage du parcours, ils me servent de point de repère pour baliser ma progression.
Plus que 2km ! c'est gagné. Pas de surprises, ils sont raides mais réguliers. J'aperçois le but un peu plus haut, ça ne va plus tarder.
Et voilà, ça c'est fait. Pas grand monde au col, une voiture, et un cyclo qui s'habille pour redescendre vers Payolle. Pas de troupeaux, ni de vaches ni de touristes.
Je me sèche au soleil, je casse la croûte, je photographie et je profite de l'instant présent.
Il fait bon, un peu de vent rafraîchit l'atmosphère. Un méchant petit nuage vient me faire signe qu'il est temps de redescendre.


Encore une photo et je file vers la vallée. Je ne m'éternise pas trop, le soleil se voile de plus en plus souvent.
Dans la vallée, le vent m'accueille de face, comme d'habitude. La carrure de J-Pierre et son vigoureux coup de pédale me manquent...
Les chiffres : 14°C en moyenne, 38km et 850m de dénivelé.

samedi 12 novembre 2016

Couleurs d'automne

C'est pas les Baronnies, mais notre voisinage se pare aussi de jolies couleurs.
J'ai profité d'une matinée d'éclaircie au cours de cette longue semaine pluvieuse pour sortir le vélo et parcourir mon itinéraire préféré autour de la maison.
Il me conduit par les crêtes et le château de Cornac, à Marciac. Vue imprenable sur les Pyrénées, les vallées environnantes, et le village perché de Monlezun.
La remontée sur la crête de Tourdun est plaisante et le spectacle à l'arrivée me paye de l'effort fourni. Le chemin de crête est magnifique, très spectaculaire aux abords de Laveraet puis de St Christaud. Il me permet de rejoindre Miélan sans jamais redescendre. Le retour par le moulin du Boues, Castelfranc et le chemin de Cartalle est plus pentu mais tout aussi coloré.

 sur les hauteurs de Tourdun

en approchant de Troncens

J'en ai ramené quelques photos de la nature flamboyante et un immense bien-être. 
Parcours de 50km et 660m de dénivelé, pour cyclo en forme.

mercredi 2 novembre 2016

Très chères Baronnies

C'est encore à l'initiative d'André, spécialiste es-Baronnies, que nous nous retrouvons pour la première de nos visites annuelles dans le piémont Bigourdan.
Le soleil généreux, le ciel d'un bleu soutenu, les couleurs d'automne, tout nous incite à cette redécouverte.
Malheureusement, les couleurs flamboyantes tant attendues ne sont pas encore là. Et il est à craindre qu'elles seront moins flamboyantes que l'an passé : été sec, pas encore de gelée, les feuilles tombent avant de changer de teinte...

Heureusement que les chênes d’Amérique sont là pour donner le ton.

Le plaisir est présent tout de même et nous nous élançons avec bonheur vers Avezac, puis Prat, le regard à l’affût des paysages somptueux qui nous entourent.
La route de Lahitte donne en général le ton de la balade : sous-bois de hêtres et de châtaigniers mordorés, balcons superbes sur le sud des Baronnies. L'allure se ralentit, chacun profitant de l'instant pour se remplir les yeux .


Une longue descente nous dépose sur les bords de l'Arros, puis nous remontons vers Batsère et Escot, via le Cot de Batserole. Nous avons pris 200m d'altitude en quelques kilomètres.
A Escot, André, le facétieux, nous propose de faire un petit crochet vers le Cap de Soulagnets que nous ne connaissons pas : c'est pas loin, à peine un petit 14%... Personne n'ose refuser et nous grimpons sur ce beau balcon, récompensés par une vue inhabituelle sur les environs.

Cap de Soulagnets

Nous apercevons en particulier le Pla de Couret, que nous allons rejoindre au prix d'un long détour par le moulin d'Esqueda et Banios. 

 arrivée assez raide au Pla de Couret

C'est dur le vélo...

Une petite pause nous permet de profiter du paysage et du plaisir d'être ensemble. Avant de plonger (littéralement) vers le village d'Asque. La remontée vers le Couret d'Asque est heureusement moins pentue, mais néanmoins parsemée de lacets impressionnants, et tant mieux pour la vue somptueuse sur la vallée du Cilhet le village d'Asque.
Le soleil baisse à l'horizon, il est temps d'entamer le retour. La descente vers Bulan, peu rapide est un grand plaisir pour les yeux, la remontée vers Laborde s'éclaire heureusement un peu grâce à une petite boucle vers Arrodets, baigné par les derniers rayons du soleil.
Nous rejoindrons ensuite Esparros et le pied du col de Coupe, longue montée de 6%, esthétique, que nous abandonnerons à 2km du sommet pour regagner nos voitures.

Encore une belle édition, avec la compagnie de Solange, Eliane, André, J-Pierre et J-Yves. Courte balade de 47km (Ouh!!!) mais 1250m de dénivelé (Ah oui...)




samedi 29 octobre 2016

Peyriguère

L'automne approche, les couleurs commencent à se préciser.
Un petit tour dans nos petites Baronnies de Peyriguère s'imposait, nous l'avons fait avec Bernard.



Superbe balade...

samedi 22 octobre 2016

La pista de Las Cutas : les miradors d'Ordesa

J'ai encore laissé le vélo à la maison pour retourner, à pied, sur les lieux enchanteurs que nous avons parcouru en VTT il y a quelques années.
Sarvisé, 8h00 : le temps était annoncé grand beau, un plafond nuageux grisâtre nous masque les sommets.
Nous montons en voiture jusqu'à Fanlo, départ de notre randonnée, pour bénéficier d'un horizons plus dégagé : les crêtes de las Cutas sont enrubannées de brume mais on pense que ça peut se lever.

Nous partons donc sur le PR-HU 183 qui monte vers le Cuello de Arenas et la piste des Miradors.
Au menu, environ 1000m de grimpette sur 8km de distance.
On déambule dans un premier temps sur un sentier de crête qui plonge rapidement vers un barranco encaissé : sentier très étroit au milieu des buis omniprésents. Ça descend de cent mètres qu'il faudra bien remonter.
Après la traversée du rio, la remontée est sévère : nous gagnons rapidement 200m de dénivelé dans un pierrier pentu . 

Nous emmergeons finalement sur le sommet d'un mamelon, la Cazuala de Fanlo, et suivons une sente pierreuse qui serpente au milieu des buis, des rochers et des coussins de belle-mère. Le ciel s'est dégagé et nous bénéficions d'un soleil généreux. La vue sur Fanlo est magnifique.
Cet étage passé, nous arrivons en bordure d'une prairie naturelle sèche, parsemée de blocs rocheux, où le balisage est moins évident. Un panneau indicateur nous renseigne sur la séparation des chemins : à droite le col d'Arenas que nous voulons éviter, tout droit vers la piste de las Cutas.



Des piquets en bois avec des bandes jaunes et blanches attirent notre cheminement de loin en loin, ainsi que quelques cairns. L'avancée est facile dès que le sentier est bien marqué, mais ça monte bien.
Enfin la piste est là, nous l'avons atteinte en 2h30. Un troupeau de moutons imposant pâture paisiblement, accompagné de son troupeau de vautours qui attend patiemment sa dîme. Quelques-uns terminent un agnelet qui n'a pas dû se relever assez vite.


Nous suivons la piste de très bonne qualité (des bus y montent les touristes de Nerin, l'été) pour rejoindre notre premier mirador, à quelques kilomètres de là. Malheureusement un méchant brouillard monte à notre rencontre et nous masque la vue.
Et voilà, nous y sommes ! La brume a la bonne idée de se déliter et nous pouvons admirer le spectacle somptueux qui s'offre sous nos yeux.


Nous profitons de cinq minutes d'éclaircie pour mitrailler en tous sens, vers l'ouest et l'entrée du canyon d'Ordesa, vers l'est et le fond du cirque de Soaso, ses cascades et ses murailles. Le tout surplombé des majestueux sommets du Cylindre du Marboré, du Mont Perdu et du Ramoun.
Le brouillard nous enveloppe et nous casse-croutons recroquevillé à l'abri du vent et du froid.
Le soleil réapparait, nous gagnons le mirador suivant en longeant la gigantesque faille du canyon.
Paysage magnifique et changeant, suivant l'humeur du temps et notre position.
Nous sommes maintenant dans l'alignement du fond du canyon, nous pouvons voir au loin la cola del caballo, superbe cascade que nous distinguons, sous le refuge de Goriz, point de départ de beaucoup de randos vers le Mont Perdu.


Il faut penser à redescendre : nous suivrons l'itinéraire de montée, ça va plus vite qu'à l'aller. Nous retrouvons le ciel dégagé à mi-pente.
A peine 2h pour rejoindre la voiture. Il nous reste assez d'energie pour un tour du village de Fanlo, magnifiquement restauré, et profiter d'une vue somptueuse sur la vallée de Bio et au fond, le Sestrales et la Peña Montañesa .


Très belle randonnée, accessible à toute personne en bonne condition. Pas de difficulté technique, balisage bien présent avec quelques manques.

Distance 19km, dénivelé 1200m, altitude maxi 2250m.


dimanche 16 octobre 2016

Montesquiou-Rozes

J'avais reconnu cette balade l'an dernier, mais difficile de regrouper les troupes...
C'est finalement à 5 que nous nous élançons depuis Montesquiou, direction les terres du nord.
Ce qui frappe en premier lieu, c'est l'omniprésence du calcaire : chez nous les maisons sont construites en terre, pour la plupart, ici c'est la pierre, blanche et très esthétique.
Première étape, Caillavet. Ce village, perché sur son rocher de calcaire, nous appelle à chaque fois qu'on passe au pied, mais rarement on y monte.

 clic pour agrandir


Une seule rue centrale, le village n'est pas beaucoup mis en valeur. Seule l'église et son superbe balcon présentent de l'intérêt. Le chemin de ronde, praticable à pied est intéressant.

Nous sommes sur une crête, au bord d'un grand plateau que nous ne quitterons pas avant longtemps. Très sauvage, désert, sec. Nous ne côtoieront des vignes qu'au voisinage de Vic-Fezensac, que nous surplombons à quelques kilomètres. André apprécie particulièrement le relief en toboggan qui nous fait passer de courtes côtes raides en descentes rapides.

Nous ne rencontrons aucun village sur 20km, avant d'arriver à Rozes. Tout petit village, 127 habitants, son château, son église et sa mairie école. Il y a même un parking que J-Pierre reluque pour son camping-car.
Nous rencontrons l'ancien propriétaire du château : il nous raconte son histoire, ses vacances ici lorsqu'il était enfant. Passionné par son sujet. Il nous fait rentrer dans le parc impressionnant avec ses cèdres plus que centenaires et nous renseigne sur la grotte du Padouenc où il jouait avec ses copains.

le château de Rozes

En repartant nous faisons une petite pause à la fameuse grotte, dans son écrin fleuri de cyclamens.


Nous quittons la crête pour plonger dans la vallée de la Baïse, que nous traversons pour remonter sur le coteau suivant. Une petite route confidentielle et très sympathique nous emmène dans la vallée de l'Arranchelan jusqu'à Lézian, et son église perdue au milieu des champs.
La remontée par le chemin d'Herrebouc est longue et pentue, nous en oublions d'admirer la vue. Elle nous conduit au magnifique château éponyme, siège d'une entreprise viticole bio réputée (http://herrebouc.fr/)

Le château de Herrebouc

Pour les amateurs, plein d'activités intéressantes au mois d'octobre.

Nous retrouvons rapidement des chemins plus connus, quelques côtes aussi. Retour par le Brouilh-Monbert, St Arailles et la chapelle de Brétous. Une dernière bosse nous ramène dans la vallée de l'Osse et à notre point de départ.

Superbe après-midi, soleil omniprésent, température douce, 22°C. Un parcours physique de 72km avec 790m de dénivelé.